Chose promise


Quand nous sommes arrivées le lendemain à l’école pour voir les résultats, Adeline et la directrice étaient devant le tableau, j’ai cherché longtemps mon nom sur la longue liste et finalement au moment où je désespérais vraiment, Adeline m’a montré une feuille sur le côté. Sur cette feuille, il y’avait le classement des dix meilleurs résultats du département, pour chaque formation. J’étais la première de ma formation dans tout le département, quand j’ai compris, j’ai eu les larmes aux yeux et je me suis blottie dans les bras de Mady, qui m’a murmuré qu’elle savait exactement comment me féliciter, j’ai rougi et éclaté de rire tout en restant blottie dans ses bras.

-          Je suis si fière de toi Ma Petite Puce !

-          Merci !

Dans un élan d’impulsivité, Mady m’a embrassé sur la bouche et la directrice qui n’avait pas encore compris était contente. Elle nous a annoncé qu’en plus j’avais obtenu une bourse pour pouvoir continuer l’année suivante et obtenir un autre diplôme et mettre en place mon idée. Une fois l’émotion passée, nous sommes remontées en voiture.

-          Je suis très fière de toi Sarah ! Je t’emmène quelque part pour manger, mais je dois passer au centre, j’ai oublié ma paire de lunettes de soleil.

-          D’accord !

-          Tout va bien ?

-          Oui, mais … tu …

-          Qu’est-ce que tu as Ma Petite Puce ?

-          Hier, tu as dit …

-          Quoi ? Pourquoi tu pleures ?

-         

-          Je sais, mais Sarah je ne ferais rien que tu ne voudras pas faire.

-          Ce n’est pas que je ne veux pas, c’est que j’ai peur et en même temps, j’en ai envie aussi.

-          Arrête de t’inquiéter je ne ferais rien sans ton accord. Mais pour l’instant, on va manger.

-          Je t’aime !

-          Moi aussi, tu veux faire quoi après manger ?

-          Je ne sais pas, je veux juste être avec toi.

-          D’accord, alors après je te fais une surprise.

Nous avons été manger dans un restaurant chinois et ensuite nous avons été au cinéma et nous avons été nous promener dans les bois à côté de la maison, en passant par le petit chemin derrière la maison. En revenant, tu cherchais les clés partout, mais je te les avais piquées quand on s’était arrêtées dans la forêt.

-          C’est ça que tu cherches ?

-          Oh ! Oui !

-          Alors viens les chercher !

-          Ah ! Tu veux jouer à ça ?

-          Oui !

Elle a essayé de me prendre les clés mais je suis repartie en courant dans le jardin. En me rattrapant, elle m’a fait tomber et elle est tombée avec moi, on ne s’est pas fait mal, mais on est restée par terre essoufflées. Elle s’est mise par-dessus moi et elle m’a embrassé sur le front puis sur la bouche. Elle a passé sa main dans mon pantalon, mais à ce moment-là, on a entendu la voiture des voisins arrivée, alors on est rentrée.

-          Viens ici, vilaine !

-          Il faudra m’attraper !

-          C’est fou comme tu aimes provoquer, dans toutes les circonstances.

-          Tu trouves ?

Nous sommes arrivées dans la cuisine et elle m’a plaqué contre le mur, puis elle m’a penché sur la table. Elle a pris mes fesses dans ses mains puis elle a passé ses mains dans mon pantalon pour aller toucher mon sexe.

-          C’est tout mouillé, ici !

-          Ah ?

-          Vilaine et cochonne en plus.

-          Oui, mais avec les meilleures notes du département et une bourse.

-          C’est vrai, et je te dois une fessée de félicitations pour ça.

-         

-          Souviens-toi de ce que je t’ai dit.

-          D’accord !

-          C’est toi qui mène le jeu, d’accord ? C’est toi qui décide quand ça s’arrête !

-          C’est froid ici !

-          On passe au salon alors !

-          Très bien !

Une fois dans le salon, elle ne m’a pas laissé le temps de provoquer encore un peu, elle m’avait poussé sur le divan. Puis elle a commencé à retirer mon pantalon et ma culotte, puis elle m’a mise complètement nue, avant de me mettre à plat ventre. Elle savait que ce nouveau jeu m’angoissait un peu, alors, elle s’est montrée rassurante, en caressant mon dos du bout des doigts. Puis, elle a écarté mes jambes pour y passer sa main et d’un coup une claque sèche sur mes fesses. J’ai poussé un petit cri, mais je n’avais pas vraiment eu mal, c’était plutôt de la surprise. Elle a regardé la marque de sa main apparaitre sur mes fesses encore blanches. Elle a embrassé mes fesses, puis elle a recommencé, je prenais du plaisir entre chaque classe.  Elle m’a demandé de me mettre à genou puis elle est partie chercher une spatule en bois dans la cuisine. Elle l’a posé à côté de moi puis elle m’a repenché sur le divan mais cette fois en restant à genoux par terre. Mes fesses étaient à sa disposition et elle a recommencé à les claquer à la main, mais cette entre chaque claque, elle jouait avec ses doigts sur mon sexe. Après quelques claques comme ça, je lui ai tendu la spatule, alors elle m’a dit que je devais compter à voix haute chacune des claques et tant que je prononcé le chiffre, ça lui donner mon accord pour la claque suivante.

-          CLACK

-          1

-          CLACK

-          2

-          CLACK

-          3

-          CLACK

-          4

-          CLACK

-          … 5

-          CLACK

-          … … … 6

-          CLACK

-          … 7

-          On arrête quand tu veux !

-          Non ! 7

-          CLACK

-          8

-          CLACK

-          … …. 9

-          CLACK

-          AIEUH !

-          D’accord j’arrête ma Petite Puce !

-         

-          Viens !

Elle m’a couché sur ses genoux, et elle a écarté mes jambes pour aller jouer avec ses doigts sur mon sexe d’une main et de l’autre caresser mes fesses un peu rougies.

-          Tu as l’air d’avoir aimé ça !

-          Comment tu sais ?

-          Tu es toute mouillé.

-          Oui, j’ai aimé !

-          Tu veux continuer ?

-          Que la main !

-          D’accord ! Tu es prête ?

-          Oui !

Elle a remplacé les caresses par des claques plus ou moins fortes en même temps qu’elle me masturbait avec son autre main. Après plusieurs minutes, j’ai commencé à m’essouffler et à me redresser jusqu’à me cambrer de plaisir. Elle m’a retourné et installé assise sur ses genoux, je me suis blottie dans son cou, j’avais enfin sorti toutes les émotions. Elle m’a embrassé tendrement et elle m’a porté jusqu’au lit dans la chambre où elle m’a mis dans le lit où nous nous sommes collées pour se reposer,, car nous étions invitées le soir à un repas chez sa sœur.

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