Peu dormi
Peu de temps
après cette aventure, les examens ont commencé, je dormais très peu et surtout
très mal, autant la semaine que les week-ends.
Après mon
dernier examen, qui était un oral, Mady m’a fait la surprise de venir me
chercher, à la sortie. Je n’avais pas réussi du premier coup à faire mon oral,
les examinateurs m’ont proposé de ressortir, de prendre quelques temps et de
revenir pour le faire. La seconde fois, j’ai mieux réussi, mais je m’en voulais
de ne pas l’avoir fait la première fois. Quand j’ai vu Mady, je n’ai pas
réalisé immédiatement que c’était elle, et je n’avais pas envie de l’inquiéter
avec ça, donc je n’ai rien dit.
-
Mady ?
-
Bonjour Ma Petite Puce ! Tu as fini
maintenant ?
-
Oui !
-
Bah cache ta joie de me voir !
-
Pardon ! ça me fait plaisir que tu sois
venue !
-
Je te ramène à la maison. On ira chercher tes
affaires lundi à l’internat.
-
Oui !
-
A moins que tu aies besoin de quelque chose ?
-
Non, je ne crois pas !
-
Tu es de mauvaise humeur ?
-
Non, je suis fatiguée.
-
D’accord !
En arrivant à la maison, je ne
savais pas quoi faire, mais je refusais tout ce que Mady me proposer de faire
et de manière très désagréable. Juste avant de manger, Mady m’a demandé de l’aide
pour m’être la table, je l’ai fait mais avec peu de motivation et elle avait
remarqué et elle m’a prévenue de changer d’attitude.
-
Viens, à table et après manger on pourra
regarder un film tranquillement toutes les deux.
-
J’ai pas envie de regarder un film.
-
Qu’est-ce qui t’arrive ?
-
Rien, j’ai PAS envie c’est tout !
-
Je t’ai déjà demandé de changer de comportement.
-
…
Nous avons mangé et au moment de
débarrasser j’ai recommencé à être désagréable avec Mady, quand elle me parlait
je lui répondais à peine.
-
Soit, tu vas te coucher maintenant, soit tu
changes d’attitude.
-
Gnein, gnein, gnein !
Comme je montais dans l’escalier,
elle m’a rattrapé, prise par le bras et elle m’a monté jusqu’à la chambre que j’occupais
à mon arrivée. Elle m’a couché à plat ventre sur le lit, et elle s’est assise à
côté de moi. Je pleurais déjà, elle le savait mais elle a commencé à claquer
mes fesses sur mon pantalon avec sévérité. Après seulement quelques claques,
elle a baissé mon pantalon et ma culotte, car je m’étais retournée en lui
disant « même pas mal », ce qui l’a fâchée davantage. Elle a repris
la fessée et elle s’est arrêtée seulement quand j’ai pris l’oreiller pour le
serré contre moi. Elle s’est levée mais elle m’a laissé dans la même position,
elle est sortie de la chambre quelques temps. Quand elle est revenue, je m’étais
endormie, alors elle a enlevé mes chaussures et mon pantalon, remonté ma
culotte et elle m’a mise dans le lit. Elle m’a laissé dans la chambre parce qu’elle
était encore un peu contrariée et parce qu’elle pensait que je me réveillerais
assez vite. Après plusieurs heures je
dormais toujours, alors elle a décidé d’aller se coucher dans notre chambre.
Quand je me suis réveillée au milieu de la nuit, j’étais perdue et je me
souvenais bien de ce qui c’était passé avant que je m’endorme. J’ai paniqué et
je ne savais pas si j’avais le droit de me lever, je suis restée un moment
avant de me décider à essayer de te trouver. Elle avait laissé les portes des
deux chambres ouvertes donc elle m’a entendu pleurer devant sa porte. Elle a
allumé sa petite lampe et en me voyant comme ça, elle avait perdu toute la contrariété
d’avant.
-
Oh viens Ma Petite Puce !
-
Par … don !
-
Viens ! Je ne suis plus fâchée !
-
…
-
Voilà ! As-tu froid ?
-
…
-
Respire ! Tout va bien !
Après avoir réussi à me rassurer,
j’ai pu lui expliquer la raison de ma mauvaise humeur et ce qui c’était passé
pendant l’oral. Elle m’a serré contre elle encore plus fort et elle m’a
embrassé sur le front elle a joué dans mes cheveux jusqu’à ce que je me
rendorme. Je me suis réveillée que le lendemain en début d’après-midi, j’ai
dormi 18 heures presque d’un coup.
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